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CONCLUSION

Nous pouvons conclure de ce TPE que la vitesse du ski dépend de nombreux facteurs. La pellicule d’eau formée par le frottement des skis sur la neige doit être fine afin de jouer un rôle de lubrifiant. A l’inverse, si ce film d’eau est trop épais, un effet ventouse se crée, et occasionne un ralentissement du skieur. De nos jours, les skis sont fabriqués pour que la couche d'eau soit d'une épaisseur idéale.

De plus, pour diminuer l'impact des forces, il existe une position à adopter, appelée « position de recherche de vitesse ». Celle-ci est la plus aérodynamique : elle diminue l’impact de l'air sur le skieur. 

Grâce à nos expériences, nous observons que le type de neige influe sur la vitesse du skieur. Pour un maximum de vitesse, la neige doit être compacte, damée et le fart choisi en fonction de la température extérieure. Nous avons également vu que la combinaison est un facteur à prendre en compte. En effet, une combinaison moulante entraine moins de frottements avec l’air comparée à une combinaison de grand public.

 

Nous pouvons nous demander comment, à l'avenir, nous pourrons améliorer les matériaux et les formes des matériels pour gagner en vitesse. Nous pouvons déjà nous orienter vers des matériaux composites qui réduiront la masse des skis. Nous savons que Laure Bouquerel, étudiante en ingénierie des matériaux à MSc Advanced Materials a créé des skis en carbone. Elle les a fait "maison" et non industriellement avec ce matériau qui est rigide et léger. Le noyau du ski reste en bois. Cependant, ce prototype de ski n'est pas encore au point car ces skis ne sont pas assez maniables.

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